Ok, bon, j'ai trouvé la première partie. Rien de bien compliqué finalement. La fin d'une ligne est directement le début de l'autre, l'image est juste un peu effacé pour aucune raison, mais ça ne cause aucun problème. Heureusement que l'auteur dit que les bits commencent à 0. Et heureusement qu'il y a des challengers qui peuvent confirmer qu'on a la bonne chaîne ^^ parce que, sinon, après il y a 74 bazillions de possibilités!
Je suis donc rendu à la deuxième partie, mais c'est un peu n'importe quoi. Pour construire l'arbre (déjà qu'il y a plusieurs méthodes, mais passons), il faut avoir l'ensemble des caractères utilisés et leur probabilité. Je ne dit rien de magique ou de surprenant, tout le monde connaît ça. Le problème est que nous n'avons ni un, ni l'autre. À la limite, on pourrait en bruteforcer un, mais pas deux! Et même un, c'est trop long et impossible à vérifier sans mot probable.
Et la connerie de caractéristique "newbiecontestienne", euh, what? La seule caractéristique
newbiecontestienne que je connaisse, c'est que la plupart des épreuves de crypto commencent par le même groupe de mots. Même si c'était le cas présentement, ça ne donne ni l'ensemble des caractères ni leur probabilité, donc on ne peut pas plus construire l'arbre. Bref, ce serait un léger départ, oui, mais vers quelque chose de presque aussi complexe.
La seule technique qui permettrait de construire l'arbre sans aucune information, c'est l'idée de Nms
Par ailleurs, et dans le cas où ce pauvre M. Huffmann serait plutôt du genre statique, serait-il imaginable que ce dernier préférât la langue de Shakespeare à celle de Molière?
... mais Spaulding l'a détruit tout de suite après en expliquant que c'est un heureux mélange. Quoique... ça se fait peut-être pareil, faudrait que je teste. Mais je serais extrêmement surpris si ça fonctionne pour deux raisons :
- Le message semble être court, alors ça n'aurait pas de sens si l'arbre est le même que dans l'idée de Nms.
- Plusieurs des indices de l'auteur ne serviraient plus à rien, ce qui est improbable.
Enfin, c'est plutôt mauvais d'avoir appris ce que l'épreuve voulait nous faire apprendre et de ne pas pouvoir valider!